Affiche Jazz à Vienne 1998

12,00

Sur l’affiche Jazz à Vienne 1998 on chante, on joue, on rit aux larmes avec ces artistes, mi hommes mi bêtes, boxeurs caresseurs chanteuses chanteurs au Théâtre Antique.

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Description

Affiche Collector 57,5cm x 43,5cm ; image 56,25cm x 42,5cm ; cadre blanc haut bas,0,5cm  ; cadre blanc droit gauche 0,5cm ;  Papier couché 250g brillant

marge gauche
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Deux logos en bas de l’affiche : Fondation France Télécom, France Inter

Bruno Théry crée aussi depuis 1988 les dépliants, les programmes et toutes les déclinaisons visuelles et les maquettes pour le merchandising du festival de Jazz à Vienne. Il crée aussi les décors de fonds de scène de 18m de large.

Jean Paul Boutellier créateur et directeur du festival

Je pense m’être laissé entraîner dans ce choix par quelqu’un d’autre, car ce e année-là mon choix se serait porté sur un autre projet.
Il y a une photo du pianiste Kurk Lindsay qui ressemble étrangement au personnage du fond de scène, il a le même profil et le même sourire. Le photographe a parfaitement saisi cette coïncidence, c’est étonnant.
Dans toute l’équipe des bénévoles, les chauffeurs (de stars), qui sont souvent de joyeux drilles, aiment blaguer. Ils utilisent parfois les affches pour donner des surnoms, ou faire des montages un peu « hard »… L’attitude des bonshommes de l’affiche, c’était devenu la méthode pour se saluer cette année-là… Un gentil petit coup de tête.

Bruno Théry

Avant le festival, pendant l’ année, je me raconte des histoires que je range dans mon petit cahier.
Cette année là, Il y avait le vol des frères Ripolin, le duo des trompes d’ éléphants, les lutteurs amoureux , et les natures mortes de Bonnard.

Ce sont les lutteurs qui ont gagné. Ils étaient un peu comme des joueurs qui s’amusent ensemble joues contre joues, du rire aux larmes, des lutteurs, des boxeurs, des danseurs, des carresseurs . Leur morphologie est curieuse, on ne sait s’il s’agit de morses, d’ours, de chiens ou d’hommes. En dessinant, on recule un tout petit peu la machoire, on aplatit à peine le front, avec des dents, sans les dents…..
Jean Paul disait que ça lui évoquait la « jungle music » .
Cette année là j’aurais bien fait une nature morte ou une nature vivante, avec un morceau de piano, peut être un métronome et des fruits, avec des couleurs comme dans les tableaux de Bonnard, pour la chaleur et la lumière de l’été, les pierres chaudes du théâtre antique de Vienne et les effluves de parfums et de hot dog aux parfums mêlés.
Mais les lutteurs boxeurs chanteurs se sont imposés.

 

Note : les photos en ligne intègrent la signature de l’artiste en filigrane, celle-ci ne figure pas sur les affiches en vente.

Informations complémentaires

Dimensions 57,5 × 43,5 cm
Affiche

Affiche Collector

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